mardi 23 avril 2013

Bangui, 1 mois après

Un mois après le coup d'état par les rebelles de la Séléka, et l'auto-proclamation de son président Michel DJOTODIA, le peuple Centrafricain souffre toujours autant.

En effet, même si le calme est revenu en "apparence" ces derniers vivent toujours dans la peur d'une balle perdue, d'un quelconque contrôle qui tourne mal, de se faire racketter, attaquer, enlever....

Ils ne se déplacent que si cela est strictement nécessaire.

La pétition mise en ligne la semaine dernière est toujours active... Si vous n'avez pas encore signé, prenez le temps, c'est important pour eux, pour nous qui espérons voir s'ouvrir des couloirs humanitaires, pour que la paix s'installe durablement dans le pays, mais aussi pour éviter ça !




Faites passer le message autour de vous.

Encore merci.
Karine



mardi 16 avril 2013

PETITION URGENCE EN CENTRAFRIQUE

Bonjour à tous,

Je vous demande quelques secondes pour signer la pétition SVP.
 
Juste un peu de votre temps et de vos pensées pour ce pays que peu connaissent et qui du coup, est laissé à l'abandon.
Gaël est né en Centrafrique, les personnes qui se sont occupées de lui, ses amis, les gens qui m'ont accuiellis et aidés pendant toute ma procédure d'adoption et bien d'autres encore, sont là-bas et ne méritent pas de vivre ce qu'ils vivent en ce moment.

Les médias ne s'interressent pas à ce qui se passe en ce moment là-bas, nos instances politiques non plus, alors nous faisons ce que nous pouvons.

Merci de partager avec le plus grand nombre sur vos profils, contacts, etc.... nous souhaitons alerter le plus de monde possible, afin que ce pays et ses habitants soient enfin pris en considération.

Merci d'avance
Que le vent toujours nous pousse.

Karine FOUDIL

jeudi 11 avril 2013

Besoin d'aide

Trois semaines après le coup d'état la situation est toujours aussi précaire à Bangui et dans le reste du pays. Les responsables des orphelinats se débrouillent comme ils peuvent pour nourrir les enfants, mais dans certaines structures, les enfants commencent à être malade.

Alors, un petit coup de pouce financier, même 5 euros (ou un gros d'ailleurs, mais vu la conjoncture, je sais que ce n'est pas facile), pour que l'on puisse acheter de la nourriture de première nécessité, c'est à dire du lait pour les petits, du riz, du sucre, de l'huile, et des médicaments, et bien ce ne serait pas du luxe.

Voilà, je n'ai pas un grand talent pour l'écriture, surtout quand la situation est dramatique, juste un gros coeur plein d'amerturme, de savoir qu'on laisse les gens "crever".

Karine